Une Écossaise de 49 ans souffrait d'une maladie rénale qui nécessitait une transplantation. Peu de temps après l'intervention chirurgicale réalisée avec succès, elle est retournée voir le médecin qui lui a détecté un cancer abdominal et un lymphome, ont rapporté les médias.
«On m'a dit que j'étais trop faible pour la chimiothérapie. J'ai déjà perdu mes proches à cause du cancer et je sais ce qui m'attend», a-t-elle expliqué, citée par les médias.
N'étant toujours pas convaincue, l'Écossaise a insisté pour qu'on effectue des tests supplémentaires. Les résultats obtenus ont prouvés que les organes du donneur contenaient une forme agressive de cancer.
Même si le rein contaminé a été aussitôt enlevé, la maladie s'est déjà propagée aux autres organes.