Des scientifiques britanniques de l'Université de Leeds, ainsi que leurs collègues de l'Institut de recherches sur le cancer, se sont penchés sur le problème du traitement du mélanome, un cancer de la peau ou des muqueuses, classé parmi les formes de cancer les plus agressives et les plus dangereuses, relate le portail MedicalXpress.
À la différence des recherches précédentes, les scientifiques ont rajouté des monocytes capables d'absorber différentes substances. Les chercheures ont ainsi constaté que ces cellules peuvent transporter des particules du virus vers les zones affectées par le mélanome, en provoquant la destruction des cellules cancéreuses.
Ceci permet d'utiliser efficacement le T-vec dans des situations d'impossibilité d'introduction directe dans la tumeur.