Des dizaines de manifestants s'étaient rassemblés près de la commission au moment de l'attentat. Ils exprimaient leur soutien à un candidat parlementaire que les responsables électoraux avaient disqualifié pour ses liens présumés avec des groupes armés illégaux.
Les violences ont fait des dizaines de morts ces derniers mois à Kaboul et la situation ne risque pas de s'apaiser à l'approche des élections législatives et présidentielle du 20 octobre.