Régissant à l'annulation des concerts musicaux de Ouargla et de Sidi Bel Abbès il y a quelques jours suite à un mouvement né sur les réseaux sociaux et dont les initiateurs ont réclamé l'annulation, l'élue a appelé les autorités à «frapper avec une main de fer» tous ceux qui œuvrent à faire annuler les manifestations culturelles afin de «renvoyer l'Algérie au Moyen Âge».
Les villes d'Adrar, Béchar et Ouargla ont été, ces dernières semaines, «le théâtre de nouveaux troubles causés par des manifestations de chômeurs qui réclamaient des emplois mais, surtout, plus de prise en charge des populations du sud qu'ils estiment lésées par le pouvoir central», indique Algerie7.
La Ligue algérienne des droits de l'Homme (LADDH) qualifie, dans un rapport publié dernièrement, cité par Algerie patriotique, la situation de «bombe à retardement» qui peut exploser à tout moment, «avec les risques d'immixtion de forces étrangères qui cherchent à exploiter la conjoncture pour appliquer des agendas bien définis».