Lors de sa conférence de presse hebdomadaire, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a indiqué les conséquence de la stagnation du processus de paix pour la Syrie.
«Une fois de plus, nous voudrions souligner que le règlement pacifique en Syrie doit aller de l'avant. La stagnation dans ce processus est extrêmement dangereuse, car elle peut réduire à néant les acquis considérables des derniers mois dans la lutte contre les terroristes, et cela ne peut être toléré», a-t-elle ainsi expliqué.
Un conflit armé ravage la Syrie depuis mars 2011. Les moyens de le régler sont au centre des discussions organisées à Astana, au Kazakhstan, et à Genève, en Suisse. Le Congrès du dialogue national syrien, organisé à Sotchi, en Russie, le 30 janvier dernier, a été la première tentative de réunir le plus grand nombre de participants à la table des négociations. Le Congrès a débouché sur la décision de créer une commission constitutionnelle à Genève.