«Cette fermeture permettrait au ministère et à l'Institut national de recherche de mener des études plus approfondies sur la façon dont le réseau social est utilisé», a expliqué le ministre de la Communication de l'État insulaire, Sam Basil, cité par le Papua New Guinea Post Courier.
Toujours selon le ministre, cette durée devrait permettre de «collecter des informations pour identifier les utilisateurs qui se cachent derrière de faux comptes (…) et ceux qui affichent des informations fausses et trompeuses sur Facebook».
Les autorités du pays sont également préoccupées par le scandale de Cambridge Analytica qui a mis en lumière le fait que des dizaines de millions de données personnelles recueillies via Facebook avaient été remises à une société privée.