Dans ce modèle, des astéroïdes étaient «présentés» par des rayons de lumière qui étaient dirigés de la Terre vers des rassemblements de corps célestes, et non le contraire. Cela a permis aux chercheurs d'accélérer leurs calculs.
Ainsi, ils ont établi la fréquence avec laquelle des astéroïdes de la taille des météorites de la Toungouska ou de Tcheliabinsk devraient tomber sur Terre et ont pu définir les régions les plus dangereuses.
En général, comme le signalent les spécialistes, le nord de la Russie et l'Europe seraient le plus menacés alors que les régions équatoriales et tropicales demeureraient hors de danger.
Pourtant, ces zones qui risqueraient d'«accueillir» des astéroïdes pourraient changer avec le temps, ainsi, ces derniers pourraient tomber sur n'importe quelle région de la planète.