Noé a essayé de persuader son fils d'embarquer à bord de l'arche afin d'échapper au Déluge et s'est servi pour cela d'un téléphone portable, car ils étaient loin l'un de l'autre, a notamment déclaré Yavuz Örnek, professeur à la faculté des sciences de la mer de l'Université d'Istanbul, dans le cadre d'un programme de télévision.
«Noé et son fils se trouvaient à plusieurs kilomètres l'un de l'autre. Le Coran dit que Noé a parlé avec son fils. Mais comment ont-ils pu communiquer? Par quel miracle, cela pourrait-il se faire? Nous pensons donc qu'ils ont utilisé un téléphone portable», a affirmé le scientifique.
Nuh Tufanı hakkında en tuhaf iddia: "Hz. Nuh zamanında günümüzden çok daha ileri seviyede teknoloji vardı. Hz. Nuh, kendisine inanmayarak gemiye binmeyen oğlunu ikna etmek için cep telefonu ile görüştü." pic.twitter.com/AVmrxEidSi
— Hurriyet.com.tr (@Hurriyet) 5 января 2018 г.
Et d'expliquer qu'aux temps de Noé, les technologies avaient été beaucoup plus performantes que celles dont on se servait aujourd'hui.
Selon M.Örnek, l'arche de Noé était faite de plaques d'acier, capables de résister à la puissance d'énormes vagues de 300 à 400 mètres de haut et marchait à l'énergie nucléaire.
Il a affirmé par ailleurs qu'après le Déluge, ce n'était pas une colombe, mais un drone qui avait été envoyé depuis l'arche.
L'animatrice du programme a demandé à son interlocuteur s'il y avait des preuves scientifiques à l'appui de toutes ces hypothèses.
«À quoi bon envoyer une colombe s'il y a des hautes technologies? Je suis un scientifique, et je parle en tant que tel», a répondu l'universitaire.
Noé qui aurait construit l'arche et sauvé sa famille et plusieurs couples d'animaux d'une grande inondation, est vénéré par le judaïsme, le christianisme et l'islam. Un chapitre entier dans le Coran est consacré à lui et à son histoire.
Des scientifiques et des aventuriers ont cherché pendant de nombreuses années l'arche perdue de Noé. Une équipe d'explorateurs chrétiens évangéliques a déclaré avoir trouvé les restes de l'arche de Noé sous la neige et les débris volcaniques sur le mont Ararat en Turquie, dans la province orientale d'Agri, avait fait savoir National Geographic le 30 avril 2010.