«Elle [la menace d'une frappe, ndlr.] demeure identique. Oui [dans quelques mois, ndlr.]. Mais je ne peux pas être plus précis», a —t-il déclaré.
En même temps, il a réfuté les allégations selon lesquelles la sous-estimation des capacités nucléaires de Pyongyang était un échec du renseignement américain.
«J'étais l'un de ceux qui parlaient directement des erreurs quand nous manquions quelque chose. Mais ce n'est pas le cas», a-t-il ajouté.
Selon lui, ces derniers mois, les services de renseignement américain se représentent mieux ce que Kim Jong-un et son entourage font.
«Nous avons une très bonne évaluation de leurs capacités militaires et l'état de préparation de leurs énormes forces», a souligné M.Pompeo rappelant qu'à part des armes nucléaires, la Corée du Nord disposait d'un important volume d'armes conventionnelles.
Auparavant, le New York Times avait écrit que des services américains de renseignement avaient mal informé l'administration Trump concernant la vitesse de développement du programme nucléaire nord-coréen.