Twitter avait précédemment promis de bloquer les comptes avec des contenus à caractère nationaliste appartenant aux individus ainsi qu'aux organisations non-gouvernementales. Le réseau social s'est ainsi engagé à bannir les pages avec des symboles et images visant à attiser la haine raciale, religieuse, ethnique ou sur la base de l'orientation sexuelle.
Jayda Fransen a été épatée par l'attention du dirigeant américain, publiant un tweet en lettres capitales frôlant l'hystérie: «Donald Trump lui-même a retweeté ces vidéos alors qu'il possède 44 millions de followers. Que Dieu vous bénisse, Donald Trump! Que Dieu bénisse l'Amérique!»
Or, la réaction des élites politiques mondiales et des médias a été tout autre. Les grands journaux américains ont de nouveau accusé le Président d'alimenter l'islamophobie, alors que des députés britanniques ont appelé à lui retirer son invitation au Royaume-Uni.