Selon lui, ces derniers temps, le Hamas «voit le terrain glisser sous ses pieds», il perd des sources de financement et ne peut plus payer les fournisseurs d'énergie.
Comme toutes les taxes prélevées dans la bande de Gaza vont dans la création de roquettes, la grogne monte au sein de la population de l’enclave. Voilà pourquoi «si l'alternative est de perdre le pouvoir ou d'attaquer Israël, bien sûr, le Hamas optera pour une nouvelle confrontation», a souligné le ministre.
«Nous ne cherchons aucune aventure superflue, mais nous ne permettrons pas une fois de plus ce jeu de ping pong: ils envoient une roquette et ont riposte. Ce n’est plus le cas. Nous voulons observer pendant une semaine comment ils vont se comporter. J’espère sagement. Si ce n’est pas le cas, nous sommes prêts à un tout autre scénario», a expliqué M.Lieberman.
La communauté internationale n'a jamais reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël et considère Jérusalem-Est comme un territoire occupé. Israël proclame tout Jérusalem, Ouest et Est, comme sa capitale «éternelle et indivisible».