«Pour moi, la nécessité d’un tel déplacement était évidente depuis longtemps. La question résidait dans la disponibilité des conditions appropriées», a expliqué le Président lors de sa 13e conférence de presse annuelle.
Le chef d'État a en outre indiqué que la sécurité de son vol avait été assurée par la chasse russe ainsi que par des militaires russes au sol.
«Les spécialistes le savent, les moments les plus dangereux sont l’atterrissage et le décollage de l’avion qui peut être la cible d’un PZRK (lance-roquette antiaérien portable, ndlr)», a indiqué M.Poutine.
Le 11 décembre, le Président russe a visité la base aérienne de Hmeimim, en Syrie. Comme l’a expliqué plus tard son porte-parole, Dmitri Peskov, Vladimir Poutine s’y est rendu à l’occasion du retrait prochain de la majeure partie du contingent militaire russe du pays.