Les résultats de l'étude sont parus dans le magazine Science Advances.
L'étude de l'accrétion apporte des informations sur l'échange de masse, d'énergie et l'emplacement réciproque entre le corps "accumulatif" et son environnement. C'est par ce processus que se forment les systèmes planétaires autour des étoiles. Souvent, cela se produit lors de la formation de jeunes étoiles ainsi que dans des systèmes binaires où, par exemple, le rôle de récepteur de la matière est joué par un trou noir et "l'expéditeur" est souvent une étoile à neutrons.
Il existe de nombreuses restrictions liées à l'observation et à la simulation de processus en astrophysique. Par exemple, dans l'observation réelle des étoiles et dans la mesure de différents paramètres peuvent apparaître des divergences par rapport à une même caractéristique. C'est pourquoi les grandes expériences en laboratoire aident à étudier les processus d'accrétion sous un nouvel angle.
Les chercheurs ont montré que la substance, après l'impact des objets, pouvait être éjectée à l'extérieur et pointer à nouveau, sous l'effet du champ magnétique, en direction du flux arrivant. Sachant que la formation de l'enveloppe de plasma qui entoure le noyau agité peut conduire à la réduction de l'émission du rayonnement radiologique. Cette découverte explique l'éventuelle raison des différences de mesures lors de l'accrétion de la substance conformément aux observations optiques et radiologiques.