Sarah Hall, originaire de Northumberland, au Royaume-Uni, a détecté de la propagande de harcèlement sexuel dans le conte «La Belle au bois dormant» et a demandé le retrait de l'œuvre du programme de l'école primaire.
La femme a déclaré qu'elle ne voulait pas que son fils âgé de six ans lise à l'école primaire un conte qui cultive de fausses idées concernant le consentement sexuel. Mme Hall a été indignée par le fait que le prince avait embrassé la jeune fille endormie sans lui demander son consentement.
«Je pense qu'il y un problème en ce qui concerne la façon dont le comportement sexuel est présenté dans ce conte. Je trouve que ce comportement n'est pas acceptable de nos jours», a-t-elle déclaré.
Mme Hall a proposé un compromis: «Il ne faut pas exclure le conte du programme complétement. Les enfants aînés peuvent en discuter afin de comprendre la culture du consentement et les sentiments de la princesse».
Dans un conte de Giambattista Basile «Soleil, Lune et Thalie», publié pour la première fois en 1643, une princesse endormie est vraiment violée par le roi d'un autre État. Elle donne naissance à des enfants, dont l'un la sauve du sommeil éternel.