La mort de plus de 1.000 requins-léopards dans la baie de San Francisco est due aux bactéries «mangeuses de cerveau», d'après des scientifiques, cités par National Geographic.
Plus tôt cette année, des centaines de requins-léopards ont été trouvés morts dans un certain nombre de zones aux États-Unis, y compris sur les plages de Foster City, de Hayward, de San Francisco et de Berkeley.
L'analyse moléculaire subséquente du liquide céphalorachidien des requins tués a poussé les chercheurs à pointer du doigt le parasite Miamiensis avidus qui, selon eux, provoque des symptômes similaires chez d'autres habitants de la mer.
«Je suis relativement convaincu que dans ces animaux il y a le Miamiensis avidus. Notre identification au niveau des espèces, au niveau moléculaire, est très bonne», a déclaré Hanna Retallack, docteure en médecine diplômée de l'Université de Californie, citée par National Geographic.