Et de poursuivre:
«Nous avons obtenu le soutien international de plusieurs partis Pirate d'Europe, dont le Piratenpartei allemand et le Piratpartiet suédois, mais nous n'avons contacté aucun citoyen russe à ces fins».
Les représentants du parti, qui avait été persécuté par la police nationale espagnole, affirment mener leur activité pour des raisons «de défense des droits de l'homme». D'après eux, le blocage des ressources qui fournissaient les informations nécessaires pour voter au référendum est inacceptable. Les représentants du parti se sont déjà adressés à la Cour de justice de l'Union européenne en posant une plainte dénonçant la violation de la liberté d'expression en Espagne. Selon Enric Pineda, les membres du parti Pirate catalan ne partagent pas les idées de l'UE telles qu'elles sont actuellement.