«Ce rapport me surprend. Ses auteurs ne sont pas venus en Crimée, ils n'ont rencontré personne, ils n'ont pas vu la situation de leurs propres yeux mais ils tirent des conclusions à distance. Quelqu'un leur parle de la violation des droits de l'homme en Crimée, et sans le vérifier, ils reproduisent ces rumeurs mille fois et sur de nombreuses pages», a déclaré Tsekov.
Il a noté que l'Onu n'avait fait aucun rapport sur la violation des droits du peuple russe pendant que la Crimée faisait partie de l'Ukraine. En particulier, cette organisation a gardé le silence sur l'éviction de la langue russe de la vie publique.
La Crimée est redevenue russe après la tenue du référendum du 16 mars 2014 au cours duquel plus de 96 % des habitants de la péninsule se sont prononcés pour la réunification avec la Russie.
Cette consultation populaire a été organisée après le coup d'État de février 2014 en Ukraine, quand des politiques solidaires de forces nationalistes, y compris russophobes, sont arrivés au pouvoir à Kiev.