Il a envoyé cette requête au chef de la commission des affaires internationales de la chambre des représentants. D'après le congressiste, de nouvelles preuves sont apparues indiquant qu'une partie des dons d'hommes d'affaires russes versés à la Fondation Clinton n'était rien d'autre qu'un pot-de-vin pour obtenir certaines préférences. Selon la chaîne RT.
«La requête fait suite aux nouvelles preuves que l'administration d'Obama, avant même la délivrance par la commission d'une autorisation à l'acquisition de la compagnie, était au courant des éventuelles corruption et violations de la loi sur la corruption à l'étranger par des représentants de la compagnie publique atomique russe, de la Fondation Clinton et plusieurs citoyens américains», indique Dana Rohrabacher.
Ce dernier appelle pendant les audiences suggérées à éudier les «éventuels liens entre Hillary Clinton et les financiers russes qui ont fait d'importants dons à la Fondation Clinton».
Dana Rohrabacher estime que la Russie finance un «sapement de l'industrie de forage américaine et construit des oléoducs et des gazoducs aux USA». Mais la lettre ne cite pas d'exemples concrets confirmant les déclarations du républicain.
Son message stipule également que les Américains doivent être au courant des «liens criminels de l'ancienne administration avec les Russes». Mais l'auteur ne précise pas de quels liens il en retourne.
Comme il ne précise pas non plus les noms des hommes d'affaires russes qui auraient transféré de l'argent à la Fondation Clinton.
Julian Assange a précisé durant son entretien avec le congressiste que les documents sur l'activité du siège du parti démocrate qu'il avait publiés pendant les dernières présidentielles américaines n'ont pas été reçus de la part de la Russie.
Dana Rohrabacher suggère notamment de vérifier la présence d'un lien entre les dons versés à la Fondation Clinton et la délivrance par la commission des investissements étrangers aux USA de l'autorisation pour l'acquisition du paquet d'actions majoritaire de la compagnie Uranium One par la compagnie publique russe Rosatom en 2013.
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