Au cours de l'exercice, les traducteurs vérifiaient le texte en biélorusse avec les traductions faites en anglais, en allemand, en tchèque et en d'autres langues.
«On a d'abord travaillé sur les évangiles, on les traduisait, ensuite on corrigeait, précisait des détails. C'est un travail extrêmement dur. Ce n'est que plus tard qu'on a commencé à traduire les Actes et les Épîtres des Apôtres. L'année dernière, on a finalisé la traduction», a expliqué le participant à une commission de traduction, abbé dans une cathédrale de la ville biélorusse de Grodno.
Il est à noter qu'auparavant, le Nouveau Testament avait déjà été traduit en biélorusse, mais toutes ces traductions n'étaient que celles d'auteurs indépendants, et ne jouissaient donc d'aucun statut officiel.