Il est à noter que les deux font partie d'une zone habitable conservative, c'est-à-dire que la planète la plus éloignée reçoit moins de rayonnements que Mars, et la plus proche — plus que la Terre. Néanmoins, selon l'expérience, les conditions d'habitabilité, soit la présence d'eau en surface, peuvent exister même si la planète obtient actuellement moins de chaleur que Mars.
Il est difficile d'évaluer avec précision l'habitabilité potentielle de ces planètes. Leur masse minimale est comprise entre 1,6 et 1,7 MT, ce qui signifie qu'elles peuvent posséder une épaisse couche d'atmosphère.
Si la planète éloignée a une chance d'être habitable, d'autre, située plus près, risque d'avoir un puissant effet de serre, comme Venus. Ainsi, il a peu de de chances pour que des organismes multicellulaires puissent y vivre.