«La récente décision de libérer sept journalistes du journal Cumhuriyet constitue un pas important, mais le fait que certains journalistes ont été remis en prison et restent visés par de graves accusations témoigne de l'état critique de la liberté des médias en Turquie», a indiqué M.Désir.
Le 28 juillet, un tribunal d'Istanbul a ordonné de relâcher sous contrôle judiciaire sept employés du journal d'opposition Cumhuriyet accusés de liens avec le Parti des travailleurs du Kurdistan et le mouvement FETÖ de Fethullah Gulen, désigné par Ankara comme l'organisateur du putsch avorté du 15 juillet 2016.
Dans le même temps, le tribunal a refusé de libérer cinq autres accusés, dont le rédacteur en chef du journal Murat Sabuncu et son président du directoire Akyn Atalay.