Parmi elles figurent également des situations «trop inappropriées pour être publiées», selon des sondés. Une employée du secteur tertiaire évoque ce mauvais rêve à titre d'exemple:
«Tout en servant à un client de la dinde grillée, je lui ai dit que j'avais deux beaux seins.»
Mais si des embarras téléphoniques arrivent de temps en temps à tout le monde, le cas suivant est plutôt unique en son genre: ce Britannique a pris une photo du père décédé d'une collègue pour Nigel Farage, ce lors de son dernier jour après qu'elle a perdu son travail».
Ensuite, une histoire plutôt triste du secteur médical: «Faire un lavement au mauvais patient».
Pour ceux à qui l'autorité des forces de l'ordre fait peur: «En tant que policier, j'ai essayé d'ouvrir la porte avec l'épaule, mais sans succès, et suis entré dans la propriété en cassant une fenêtre… Ce avant de comprendre que la porte s'ouvrait vers l'extérieur».
Les enseignants semblent avoir aussi des histoires à raconter: «J'ai donné un devoir à faire à un nouvel élève et je l'ai corrigé, mais j'ai découvert plus tard qu'il était stagiaire diplômé venu observer la leçon…».
Et finalement, la confession la plus triste d'un Britannique qui considère comme une situation embarrassante le fait qu'il «a accepté de travailler».