«Nous considérons les Casques blancs comme un élément de la vaste campagne d'informatiqueon destinée à compromettre l'image des autorités syriennes», a fait savoir Mme Zakharova lors d'une conférence de presse.
«Or, aucune de leurs vidéos ne montre ni de tirs ni de frappes aériennes [à l'origine de ces morts]», a affirmé la porte-parole de la diplomatie russe.
Financés notamment par Londres et Washington, les Casques blancs sont accusés par Damas d'être liés aux groupes les plus extrémistes de la rébellion syrienne et de porter notamment assistance aux terroristes blessés dans les bombardements.
En dépit du fait que l'organisation bénéficie d'un soutien financier américain, le chef de la structure, Raed al-Saleh, est interdit d'entrer aux États-Unis.