Néanmoins, les utilisateurs de Twitter n'ont pas tardé à réagir, en critiquant cette initiative des journalistes, la qualifiant de «fake news».
Caught red-handed doing what?
— Amy Moreno (@VivaLaAmes5) 13 июля 2017 г.
Meeting w/someone claiming to have opposition research on Hillary that went nowhere?
ZERO quid pro quo. pic.twitter.com/MoMKVj3apl
«Pris en flagrand délit pourquoi? Pour une rencontre avec quelqu'un qui s'était dit en possession d'informations intéressantes sur Clinton, et sans que cette information ne soit confirmée?», écrit Amy Moreno.
#FakeNews. Seriously @TIME? You're pushing the CNN fake news narrative too? I thought you were better than this. Sad.
— Krack Ho (@KrackHo) 13 июля 2017 г.
«Le Times, sérieux? Vous faites comme CNN et publiez des fake news? C'est triste», a renchéri Krack Ho.
It's another phony sensationalized story with zero connection to any Russia collusion. Time magazine has hit the cesspool of credibility.
— eugenealan Triplett (@eugenealan1) 13 июля 2017 г.
«Encore une fausse histoire sensationnelle qui n'a aucun lien avec l'ingérence russe», a constaté à son tour l'utilisateur eugenealan Triplett.
Auparavant, le journal New York Times a annoncé qu'en 2016 l'avocate russe Natalia Vesselnitskaïa, soupçonnée d'avoir des «liens avec le Kremlin», avait rencontré Donald Trump Jr. en affirmant qu'elle avait des documents compromettants sur l'ex-candidate au poste présidentiel Hillary Clinton.
Lundi, le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a déclaré que le Kremlin ne possédait aucune information sur une quelconque avocate russe qui aurait promis à Donald Trump Jr. de lui livrer des preuves compromettantes sur Hillary Clinton.
Pour sa part, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a annoncé qu'il considérait les discussions dans les médias à ce sujet comme du délire.