L'équipe d'Oliviera a créé un groupe de bots ou «agents» qui produisaient des messages contenant de nouveaux mèmes, essentiellement de fausses nouvelles, sur des sites comme Twitter, Tumblr et Facebook et un groupe de bots qui partageaient ces publications en réseau.
À l’issue des observations réalisées, les économistes ont conclu que la diffusion virale des fausses nouvelles pouvait être expliquée par deux facteurs.
Autrement dit, l'étude suggère que la plupart des gens ne se concentrent sur les nouvelles que brièvement. La présence de faux faits sature l’afflux informationnel de sorte que les gens ne sont pas capables de trier le bon grain de l’ivraie. Enfin, nous pouvons ignorer les informations factuelles tout simplement parce qu'il y a trop d’information en ligne.