«Le message de lundi se présente comme une préparation du terrain pour une nouvelle frappe militaire», indique le quotidien.
Pour sa part, le Washington Post rappelle que les forces américaines stationnées dans la région disposent de plusieurs types d'armements qui peuvent être utilisés dans l'attaque, dont des avions et des drones de combat.
Le NYT cite en outre le porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC) Marc Raimondi, qui a souligné que la déclaration de la Maison-Blanche «parlait d'elle-même».
Dans la nuit du 6 au 7 avril, 59 missiles de croisière Tomahawk ont été tirés depuis deux navires américains en Méditerranée vers la base aérienne syrienne d'Al-Chayrate, près de Homs, en réaction à une attaque chimique de Khan Cheikhoun attribuée par Washington aux forces fidèles à Bachar el-Assad.