Moscou n'envisage pas de lancer une course avec Kiev pour le droit d'être le premier à rencontrer le Président américain Donald Trump, a déclaré mardi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
«Nous n'estimons pas qu'il faille organiser des courses. L'état des choses réel quant au règlement de la crise ukrainienne est parfaitement connu à Washington, et s'il le souhaite, Washington peut à tout moment prendre connaissance de toutes les nuances et des engagements qui pèsent sur Kiev conformément aux accords signés à Minsk», a indiqué le responsable.
M.Peskov dit espérer que les États-Unis enverront à Kiev un «signal puissant» quant à la nécessité de respecter les accords de Minsk (à propos du règlement du conflit dans l'est de l'Ukraine, qui perdure depuis le coup d'État survenu à Kiev en février 2014).