En réponse, la diplomatie turque a indiqué avoir prié le BIDDH de « s'abstenir de faire des commentaires basés sur des informations insuffisantes ».
« Malheureusement, le rapport du BIDDH contient des accusations et des évaluations politiques. La conclusion selon laquelle le référendum turc ne correspondait pas aux standards internationaux est inacceptable », a déclaré le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué dont Sputnik a obtenu copie.
Dimanche dernier, 51,2 % des Turcs se sont prononcés en faveur du renforcement des pouvoirs du Président Recep Tayyip Erdogan, leadeur du Parti de la justice et du développement (AKP), qui dirige le pays depuis 2003. En vertu de la nouvelle réforme, ce dernier pourrait rester au pouvoir jusqu'en 2029.
L'opposition accuse M. Erdogan de dérive autoritaire et promet de contester les résultats du référendum, dénonçant de nombreuses manipulations.
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