Le parlementaire britannique Rob Flello, qui se décrit comme un « piste cyclable-sceptique », a déclaré que « le transfert sur deux roues n'avait manifestement pas résolu de nombreux problèmes » et a affirmé que les pistes cyclables entraînaient une augmentation des embouteillages et de la pollution, cité par The Independent.
Et d’expliquer que les routes « précédemment utilisées par les véhicules » se sont transformées en pistes cyclables « sous-utilisées par les vélos », ajoutant que cela « provoque à son tour plus d'embouteillages et de pollution».
M. Flello a souligné qu'il n'était pas « contre les vélos » et a dit qu'il était « favorable à l'idée que l'utilisation des vélos puisse apporter une contribution significative, quoique loin d'être décisive ».
A l’appui de ses propos, Rob Fello a cité l'exemple de Cambridge, où environ la moitié des résidents se déplacent au moins une fois par semaine en vélo. Pourtant, la ville reste « l'un des endroits les plus embouteillés du pays ».
« Ne vous laissez pas tromper, les bouchons sont étroitement liés à la pollution. Les véhicules au ralenti, bloqués dans la circulation, produisent des émissions beaucoup plus nocives que celles qui sont produites pendant une circulation libre », a-t-il conclu.