« J'espère une amélioration des relations avec la Russie. Mais je ne vais pas proposer un bouton de redémarrage ridicule comme l'avait fait Clinton. Qu'est-ce qu'il y a à redémarrer? Soit on s’entend, soit pas. Les deux scénarios sont possibles », a déclaré M. Trump, dont l'investiture est prévue le 20 janvier.
Et pourtant, l'homme politique ne considère pas que le président sortant, Barack Obama, soit allé « trop loin » en décrétant de nouvelles sanctions contre la Russie suspectée d'avoir organisé des attaques informatiques contre les États-Unis.
« Je ne dis pas qu'Obama est allé trop loin », a-t-il répondu aux journalistes.
Cependant, M. Trump n'a pas exclu qu'un autre pays que la Russie pouvait être derrière les attaques informatiques.
Rappelons que les autorités américaines ont accusé le Kremlin d'être derrière une série de cyberattaques, notamment celles dirigées contre les serveurs du Parti démocrate des États-Unis.
La Russie a notamment été accusée d'avoir piraté les sites du Parti démocrate. Aucune preuve n'a jamais été fournie. Moscou, de son côté, rejette ces accusations. Le 30 décembre, l'administration d'Obama a imposé des sanctions contre neuf établissements russes, dont les services de renseignement, pour avoir été prétendument impliqués dans les cyberattaques visant à influencer les résultats du vote.
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