Selon le média Anna-News, durant toute l'occupation du quartier Souleiman al-Halabi où se situe ce site important, les islamistes menaçaient les autorités de couper l'eau et exigeaient du carburant en échange. Une fois ce dernier obtenu, les terroristes ne l'utilisaient pas pour la station mais plutôt pour leurs véhicules, ainsi que pour le revendre.
De plus, en sachant que l'armée n'attaquerait pas les bâtiments de la station, les rebelles ont transformé les bureaux et les locaux de production en poste renforcé. Détail notable: ils entouraient tous leurs postes de tir avec des sacs d'aide humanitaire de l'Onu et du Croissant rouge.
Rappelons que le 29 novembre 2016, l'est d'Alep — où vivent plus de 90 000 habitants — a été entièrement libéré des terroristes. Le ministère russe de la Défense a annoncé qu'il s'agissait d'un « tournant radical ».
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