L’apocalypse selon George Soros : une « philanthropie » diabolique
Le 9 novembre 2016, le monde a découvert une nouvelle réalité — que j’ai prédite à plusieurs reprises- : l’élection de Donald J. Trump comme 45ème Président des États-Unis, avec une victoire écrasante (290 voix au sein du collège électoral, contre 228 pour Hillary Clinton). Les commentateurs et les politologues prédisaient depuis des mois la victoire écrasante de Clinton, candidate préférée de « l’establishment », non seulement américain, mais aussi globaliste, qui participe à la mise en place du nouvel ordre mondial sous les auspices de Monsieur Soros et d’autres personnalités obsédées par l’idée d'un gouvernement mondial.
Afin de combattre, voire d'éradiquer ses ennemis, qui représentent un obstacle à son rêve d'un nouvel ordre mondial, George Soros utilise deux armes essentielles : les Think Tanks, « instituts de recherches », et les mainstream medias, « médias de masse ».
1) Les camouflages associatifs et académiques des projets Soros :
La vérité vous rendra libres lorsque vous découvrirez qui est derrière les associations aux fins prétendument « philanthropiques » et « humanistes » de Mr Soros. George Soros est un ardent avocat du projet libéral et globaliste auquel Clinton concourait avec dévouement. Raison pour laquelle le milliardaire a dépensé des millions de dollars pour soutenir la compagne de la malheureuse candidate démocrate. Dans ce contexte, Soros détient directement ou indirectement de nombreuses associations, fondations et instituts civils et académiques. Les plus célèbres sont « The Open Society Institute », « Tides Foudation », « MoveOn.org », qui a encouragé les vagues de violence consécutives à l’élection de Trump, « Democracy Alliance » ou « Center For American Progress ». Toutes ces organisations financent une association nommée Media Matters « Les médias comptent », et qui à son tour fournit une mine d’informations et d'analyses, et parfois finance les « mainstream media ». En ce qui concerne le fameux « Huffington Post », celui-ci est largement financé par Soros ainsi que l’association « International Answer » qui réunit un groupe de communistes et d'anarchistes ultra-radicaux.
Les « mercenaires » de ces entités « sorosiennes » sont souvent dépêchés dans les zones de conflits instigués par Soros, que ce soit à Euro-Maidan en Ukraine, à Tbilissi en Géorgie, sur la Place verte à Tripoli ou même sur la Place Tahrir en Égypte. Ces personnalités, qui prônaient la « démocratie » à la Soros et soulevaient les peuples contre leurs gouvernants, sont aussi corrompus que Moubarak en Égypte. Ils sont d'ailleurs soutenus par un outil efficace, les mainstream media, notamment Al Jazeera.
2) Les mainstream media : Une arme de propagande contre les adversaires de Soros.
La diabolisation des adversaires de Georges Soros par les mainstream media est devenu un art. Ces « medias » ont été un outil formidable aux mains de la malheureuse candidate démocrate. Je ne parle pas uniquement des médias américains, mais aussi des médias internationaux. Il était effrayant de constater combien le New York Times, CNN, le Washington Post (USA), la BBC (Royaume- Uni), BFM TV, France 24, Le Monde (France), Der Speigel, DW (Allemagne), Al Arabia (Arabie Saoudite) et bien sûr la célèbre porte-parole des Frères Musulmans et de l’Etat Islamique (Daech), Al Jazeera (Qatar), émettaient les mêmes mêmes opinions anti-Trump.
Ces médias sont tous soumis à l’idée du nouvel ordre mondial promu par « l’establishment » de Washington — Démocrates et Républicains — qui ont adopté cette pensée politique pour le XXIème siècle. La preuve : le clan Bush a voté pour Hillary Clinton. Mais cet ordre qui devait être établi partout dans le monde a été rejeté par des « rebelles » patriotes, conscients que leurs pays respectifs risquaient de perdre leur souveraineté au profit d’une élite mondiale.
La confrontation entre Soros et ces leaders que sont le Président russe Vladimir Poutine, le Président égyptien Abdel Fattah El-Sisi et le Président américain élu Donald J. Trump, sera l'objet du prochain article sur George Soros. Notons que ces chefs d’Etats ont une chose en commun : tous diabolisés, ils font l'objet d’une campagne de désinformation et de diffamation par les mainstream media.
3) George Soros le « divin », le Messie, l’omniprésent… une mégalomanie incurable ?
L’histoire de Mr. Soros n’est pas vraiment agréable à rédiger, d'où je persistais à lui attribuer son surnon de « Sorrows »1, tristesse. Celui-ci a fait sa fortune grâce aux spéculations qui ont littéralement ruiné les économies de pays comme la Malaisie ou la Thaïlande, et sur la dévaluation de la Livre Sterling dans les années 1980. Pour la Russie, la haine de Soros est au-delà de toute description : dans les années 1990, il a tout fait pour réduire l’économie russe en cendres. Heureusement, l’homme fort de la sainte Russie, Vladimir Poutine, est apparu dans les années 2000 et a mis fin aux fantasmes de Soros.
George Soros se prend pour un « pseudo-Dieu », selon ses propres mots. Dans son livre « The Alchemy of Finance », il déclare ouvertement qu’il se voit comme un Dieu, récit repris par le journal américain Los Angeles Times 2. « Soros On Soros » est un autre ouvrage où il se décrit lui-même comme « Larger than life », plus grand que la vie. Soros déclare également dans son livre « Underligning Democracy » qu’il entretenait en lui-même, depuis son enfance, des aspirations messianiques. Il est conscient de sa capacité, avec sa fortune, à détruire des nations, à ruiner des économies, à dresser la moitié d’une société contre l’autre, de déclencher des révolutions, de détruire la valeur de la monnaie d’un pays, de semer l’immoralité et la haine envers la notion de patrie.
La raison pour laquelle Donald Trump est détesté par Soros et ses « majordomes » globalistes du nouvel ordre mondial, est que Trump a ouvert les yeux de beaucoup d’Américains sur des vérités qu’il ne fallait pas que le peuple sache. Il a brûlé des rhétoriques médiatiques et les a rendues inefficaces. Sans doute, Trump est un homme d’affaires redoutable, qui connaît depuis longtemps les règles du jeu, élaborées dans les coulisses à Washington et Wall Street, afin que l’élite puisse gouverner avec une main de fer ce monde « d’imbéciles ». Trump a de la crédibilité, parce qu’il franchit une ligne rouge que cette prétendue élite politico-économique ne permettait à personne de franchir.
À suivre…
1) http://cherifamir.com/2016/02/16/larabie-saoudite-et-george-soros-deux-contes-de-folie-et-de-haine/
2) http://articles.latimes.com/2004/oct/04/opinion/oe-ehrenfeld4
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.