Trumpacifique, ou l’accord de partenariat à la néo-zélandaise

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Lors de sa campagne électorale, Donald Trump a remis en cause l’opportunité du Traité de partenariat transpacifique (TPP). Barack Obama a alors décidé de suspendre la ratification auprès du Congrès américain et de passer le relais au président élu.

Le premier ministre néo-zélandais John Key a proposé de rebaptiser le Traité de partenariat transpacifique en Trumpacifique pour convaincre Donald Trump, opposé au TPP.

« Le Partenariat Trumpacifique est une variante convenable », a ironisé le chef du gouvernement néo-zélandais, cité par The Guardian, lors du sommet de l'Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (APEC).

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Selon le journal, John Key a également noté que les États-Unis étaient un partenaire primordial dans la région. Par contre, Pékin pourrait bien piquer la place de Washington si le nouveau numéro un américain n'accorde pas son soutien au projet du TPP.

En février 2016, le TPP, préparé par Washington au cours des dernières années, a été signé par 12 pays, dont les États-Unis, la Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, Singapour, la Malaisie, Brunei, le Vietnam, le Japon, le Mexique, le Chili et le Pérou.

Auparavant, les préparatifs et la signature du TPP constituaient un vrai fondement de la politique de l'administration Obama en Asie.

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