En janvier 2015, le président américain Barack Obama annonçait: « La Russie est aujourd'hui isolée alors que son économie est mise en lambeaux ». C'est cette déclaration qui a poussé M. Bradeley à prendre un avion pour Moscou afin de constater de ses propres yeux l'étendue du désastre. Faut-il ajouter qu'il avait de quoi s'étonner ? Wi-fi gratuit, BMW rutilante, mais surtout des routes « aussi lisses que de la soie ».
« Mes yeux scannaient la route et j'ai remarqué une importante différence par rapport à New York : il n'y avait pas de nids-de-poule. Aller à JFK un jour plus tôt signifiait retourner à l'exercice habituel d'esquiver les trous et l'asphalte bosselé. Or, cette soi-disant économie déchirée n'avait pas laissé un trou sur toute la route menant jusqu'à la ville », poursuit l'écrivain.
Il est vrai que Moscou n'est pas toute la Russie, mais la vie à New York est aussi différente de celle des autres villes, explique James Bradeley. Et de conclure : « Cette économie en lambeaux semble très saine depuis la capitale ».
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