A Homs, la vie reprend son cours

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La capitale de la soi-disant «révolution syrienne», qui depuis de nombreuses années a servi de bastion aux militants armés, n'a pas pu résister à l'offensive de l'armée syrienne.

Les militants de la ville de Homs, à qui il a été proposé de déposer les armes afin d'obtenir l'amnistie, se sont divisés en deux parties. Une partie a décidé de déposer les armes, tandis que l'autre, sur autorisation de l'armée gouvernementale, a quitté la ville pour d'autres fronts.

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L'opération d'évacuation des militants se poursuivra jusqu'à ce que la zone soit complètement libérée des groupes armés.

Ce sont les troupes de l'armée syrienne gouvernementales qui ont assuré la sécurité et la bonne tenue de l'évacuation.
À l'heure actuelle, 130 militants ont quitté la région accompagnés de leurs familles. Ils ont été transférés dans la ville d'El-Dara El-Habira, située au nord de Homs.

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Dans les autres quartiers de Homs la vie reprend son cours progressivement. Les écoles rouvrent leurs portes pour les enfants, les magasins servent à nouveau les clients et les organismes gouvernementaux reviennent à leur mode de fonctionnement initial.

Dans la région d'Al-Mazraa, qui est voisine de celle d'El-Waar, des centaines de civils ont regagné leurs foyers qu'ils avaient quittés pour échapper aux tirs de mortiers et aux attaques des snipers.

L'un de ses « revenants », un vieil homme du nom d'Abu Akhmed, a déclaré à Sputnik que tous les gens étaient heureux de rentrer chez eux après une longue absence.

« Nous sommes très heureux que les rebelles aient quitté nos quartiers. Mon fils a été tué il y a un an par un tireur d'élite en plein travail à El-Waar », a raconté Abu Akhmed.

Les résidents ont commencé à rétablir l'ordre dans les rues, à démanteler les barricades, à restaurer des routes, etc. Dans les rues les enfants jouent à nouveau au football, arrêtant le jeu uniquement pour laisser passer les voitures.

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