La semaine dernière, le journal Nie a rendu publique l'information sur l'envoi de 19 militaires des forces spéciales polonaises dans le Donbass. Ce message a été démenti par les responsables officiels polonais, mais le journal a indiqué qu'il avait vérifié l'information auprès de sources différentes et n'allait pas désavouer sa publication.
« Comment la première invasion sur le territoire ukrainien a-t-elle eu lieu ? C'était, disons, une intervention civile, via le Fonds de Soros. (…) Aujourd'hui, pour cela, ce sont des unités militaires qui sont utilisées, et leurs activités illégales sont dirigées directement par les États-Unis », déclare l'expert.
« Par ailleurs, je n'exclus pas qu'il y ait un lien entre cette démarche polonaise et la crise syrienne. Si Varsovie essaie d'exercer une influence et de jouer un rôle de provocateur, cela pourrait également conduire à des conséquences très dangereuses et imprévisibles pour le processus du règlement syrien », déclare le politologue.
Cette situation menaçante reflète les graves problèmes auxquels le droit international est confronté de nos jours, conclut l'expert.