Les forces gouvernementales syriennes continuent de lutter contre le terrorisme. Dans la nuit du 3 au 4 septembre dernier, un nouvel assaut des forces syriennes à Alep a réussi. De telles nouvelles ne semblent pas plaire aux adversaires de Damas qui répondent par des coups médiatiques. Selon l'agence Reuters, les représentants syriens accusent les forces gouvernementales d'avoir utilisé des bombes au chlore. En particulier, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), organisation basée non pas en Syrie, mais au Royaume-Uni, qui parle de 70 cas d'étouffement.
Quelle en était la raison? Ces 73 ONG ont accusé le pouvoir de Bachar el-Assad d'ingérence dans la gestion de l'aide humanitaire en Syrie et les agences de l'Onu basées à Damas de subir l'influence du gouvernement syrien.
Mais ce n'est pas tout. Cette décision prononcée par les 73 ONG intervient après la publication d'une enquête syrienne par le journal britannique The Guardian. L'Onu est accusée d'avoir conclu des contrats de dizaines de millions de dollars avec des personnalités proches de Bachar el-Assad.
La série de réussites militaires a finalement permis aux forces gouvernementales de resserrer l'étau autour des djihadistes occupant les banlieues orientales d'Alep. Les troupes syriennes ont préparé le terrain pour lancer de nouveaux assauts et ainsi continuer la libération.