"J'aime les gens qui ont connu des hauts et des bas, qui ne se sont pas plaints, qui ont serré les dents", a affirmé M. Sarkozy, lors d'un meeting à Poissy sur le thème de l'éducation.
Nicolas Sarkozy, mis en examen en février, se voit reprocher notamment d'"avoir dépassé le plafond des dépenses électorales" fixé à 22,5 millions d'euros et de faire "état", dans son compte de campagne, d'"éléments comptables sciemment minorés".
Manuel Valls a jugé mardi "insupportables", "pour l'idée qu'on se fait de la séparation des pouvoirs et du rôle de la justice", les déclarations à droite accusant l'exécutif de mener une "manœuvre politique" contre l'ancien chef de l'Etat.
Gérald Darmanin, porte-parole de la campagne de M. Sarkozy, et maire (LR), qui accompagnait mardi M. Sarkozy à Poissy, a affirmé à quelques journalistes que "le hasard" (la réquisition du parquet alors que la campagne de la primaire va démarrer et qu'a débuté le procès de Jérôme Cahuzac), était "étonnant".