Les règles d'utilisation du réseau social américain interdisent les menaces violentes et la promotion du terrorisme, mais il avait affiché en février sa volonté d'intensifier ses efforts, montrant ainsi qu'il ne restait pas inactif face aux appels gouvernementaux à freiner la propagande djihadiste sur internet, annonce l'AFP.
"Les suspensions quotidiennes sont en hausse de 80% comparé à l'an dernier, avec des pics de suspensions suivant immédiatement les attaques terroristes" qui se sont multipliées ces derniers mois, souligne Twitter dans le message publié jeudi sur son blog officiel.
Tout en reconnaissant que le travail n'est "pas fini", il affirme que "nos efforts continuent d'avoir des résultats importants, y compris un déplacement important de ce type d'activité en dehors de Twitter".