Des bio-ingénieurs ont développé une théorie sur le dopage transgénique qui renforcera les capacités d'un sportif en les transformant en mutant. Le monde sportif est menacé par l'apparition des X-Men, mais l'imperfection des technologies la rend pour l'instant improbable: pour éditer l'ADN dans chaque cellule du sportif, il faut reproduire le modèle du fonctionnement du virus, ce qui n'est pas encore possible.
Les records olympiques soulèvent de graves questions parmi les experts. Pendant les JO 2012 de Londres, une nageuse chinoise a remporté la médaille d'or en battant le record de vitesse masculin. De telles sensations poussent des agences antidopage à aborder sérieusement la question de la recherche de mutants parmi des athlètes.
"Les bio-ingénieurs ne possèdent pas encore un conducteur sûr pour +le gêne du vainqueur+. Mais s'ils le trouvent, le monde sera secoué par un moyen de dopage complètement nouveau impossible à identifier", rapporte une chaîne russe.
Le succès phénoménal du nageur américain Michael Phelps, qui a hier battu le record du 2.000 m en décrochant sa 22e médaille d'or olympique, peut être expliqué par ses capacités physiologiques. Dans son enfance, on lui a diagnostiqué un trouble de l'attention avec hyperactivité, mais sa mère a canalisé toute son énergie en lui faisant faire de la natation. Par la suite, Phelps a pu attirer l'attention des entraîneurs professionnels avec ses bras incroyablement longs et sa persévérance.