La Syrie a lancé un appel à l'Onu, affirmant que 45 civils avaient été tués et 50 blessés dans des frappes aériennes américaines effectuées jeudi près de la ville de Manbij près d'Alep. Le commandement central américain Central Command (CENTCOM) a admis que les frappes aériennes avaient "peut-être fait des victimes civiles", mais n'a pas fourni de chiffres.
Selon lui, la Syrie ne pourra sans doute pas obtenir de l'Onu une condamnation officielle des frappes aériennes de la coalition américaine, car la Grande-Bretagne et les Etats-Unis mettront un veto sur une résolution en ce sens, estime M. Papadopoulos.
"Nous vivons malheureusement dans un monde où les crimes du gouvernement américain ne sont pas relayés à l'audience occidentale", a indiqué l'expert.