Selon lui, seuls quelques combattants se sont décidés unilatéralement à déposer les armes pour se rendre à l'armée gouvernementale à l'encontre de la position qu'avait adoptée le groupe dont ils font partie.
"Pour le moment, il n'y a pas de négociations directes entre le gouvernement syrien et les groupes armés retranchés dans la ville d'Alep. Nous n'avons pas encore atteint ce stade: à présent, il s'agit de cas isolés et non pas de groupes entiers", fait-il remarquer.
Il a également ajouté qu'un groupe de travail autonome avec un gouverneur à sa tête avait été formé à Alep pour subvenir aux besoins de la population civile et de tous ceux qui ont décidé de saisir cette occasion pour retrouver des conditions de vie normales.
Selon différentes estimations, entre 200.000 et 250.000 civils nécessitant une aide humanitaire urgente pourraient emprunter les couloirs.
Les autorités syriennes ont également mis sur pied six centres d'aide humanitaire susceptibles d'abriter plus de 3.000 personnes et de subvenir à leurs besoins.