Plus de dix candidats sont en lice pour ce poste, dont des anciens ministres et chefs d'État et en activité. Plusieurs représentants politiques ont déjà appelé à élire une femme d'Europe de l'Est pour équilibrer la géographie et le genre du poste, mais d'autres candidats n'ont pas l'intention de baisser les bras en affirmant que l'issue de la course ne devrait pas être déterminée par le sexe et l'origine, mais par les compétences professionnelles.
Par ailleurs, comme la Charte de l'Onu ne dévoile par les détails du processus électoral préliminaire, il est difficile de prédire aujourd'hui qui des candidats arrivera à passer au prochain tour.
Le favori de la course préélectorale devrait être connu d'ici octobre et le nouveau secrétaire général devra être élu avant le 31 décembre, date d'échéance du mandat de Ban Ki-moon.