"Ce n'est pas simplement une proclamation: il y aura donc ce qui était déjà prévu dans le premier état d'urgence (…) et des mesures qui nous permettront de faire des perquisitions en plus des assignations. Nous pouvons également renforcer certaines dispositions dès lors que le juge constitutionnel nous en donne la possibilité", a ajouté M. Hollande.
"Les terroristes veulent nous diviser, nous monter les uns contre les autres", a insisté François Hollande, ajoutant: "Il y a un devoir qui m'anime, que nous soyons unis, rassemblés, capables de réagir comme il convient avec la force nécessaire".
"Protéger les Français est mon devoir. Protéger les Européens est notre responsabilité. La sécurité est notre priorité" @fhollande #DirectPR
— Élysée (@Elysee) 19 июля 2016 г.
Le projet de loi que le gouvernement demande au Parlement d'adopter prévoit une prolongation de trois mois mais un consensus pourrait se dessiner sur six mois, jusqu'à fin janvier 2017, annonce l'AFP. Ce régime qui facilite les perquisitions et les assignations à résidence est en vigueur depuis les attaques du 13 novembre à Paris.