Répondant directement à la question de Sputnik sur la raison pour laquelle l'Otan s'obstinait à considérer la Russie comme une menace pire que le terrorisme de Daech, le secrétaire général de l'alliance a insisté sur le fait que le bloc (lequel, soit dit en passant, augmente constamment ses effectifs stationnés sur les frontières de la Russie) "ne cherchait pas la confrontation".
Why's NATO so keen to present Russia as a threat instead of focusing on EU security & preventing attacks like Paris or Brussels? #AskJens
— Sputnik (@SputnikInt) 11 июля 2016 г.
Cela peut paraître étonnant, mais M.Stoltenberg nous a répondu.
"Nous (l'Otan) ne cherchons pas la confrontation, mais nous allons défendre nos alliés. Nous oeuvrons pour le dialogue avec la Russie. Une réunion du conseil Otan-Russie aura lieu mercredi", a-t-il écrit sur Twitter.
.@SputnikInt We don't seek confrontation but we will defend our Allies. We work for dialogue w Russia. NRC will meet on Wednesday. #AskJens
— Jens Stoltenberg (@jensstoltenberg) 11 июля 2016 г.
Les pays donateurs de militaires pour ces bataillons seront les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et le Canada. Les autres pays membres de l'Otan seront chargés du soutien logistique.
Le délai du séjour des bataillons déployés n'est pas fixé pour le moment.