La Commission européenne ainsi que les entreprises mentionnées reconnaissent que la diffusion en ligne d'informations illicites susceptibles d'engendrer l'agression a non seulement une influence négative sur certains groupes sociaux ou individus pris à part, mais se répercute aussi sur ceux qui prônent la liberté et la tolérance et qui luttent contre la discrimination au sein d'une société ouverte.
"Le langage haineux exerce un effet dissuasif sur les plateformes Web", stipule le communiqué.
La décision de mettre en place un code de conduite en ligne a été adoptée suite aux attentats terroristes de Bruxelles. L'UE a alors porté attention sur le fait que le nombre de publications à contenu extrémiste avait monté d'un cran au cours de ces dernières années. Les émissaires européens considèrent les réseaux sociaux comme faisant partie des outils de propagation de la haine.