Le directeur du projet Sebastian Farquhar a communiqué au Telegraph que les catastrophes naturelles représentaient le plus grand danger pour l'humanité. Il s'agit, au premier chef, de la chute d'un grand astéroïde ou de l'éruption d'un supervolcan, l'humanité étant incapable de parer aucune de ces deux menaces à l'étape actuelle de son développement.
Un autre danger de taille provient des virus mortels. Selon les analystes d'Oxford, la menace principale émane aujourd'hui des virus d'origine synthétique et non pas d'agents naturels.
En ce qui concerne les dangers menaçant l'humanité sur un plus long terme, les chercheurs signalent la guerre nucléaire et la création de l'intelligence artificielle. Selon eux, des révoltes de robots évoquées dans les grosses productions hollywoodiennes sont plus que réelles suite au perfectionnement ininterrompu des machines.