Il s'agit de la "plus importante publication sur les sociétés offshore et sur les personnes qui sont derrière elles", affirme dans un communiqué l'ICIJ, le collectif basé à Washington qui a coordonné l'enquête sur la fuite massive de documents du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca.
L'ICIJ précise toutefois que seule une partie des 11,5 millions de documents des Panama Papers a été utilisée pour alimenter cette base de données en ligne, à laquelle le cabinet Mossack Fonseca a menacé de répondre en saisissant les tribunaux.
Depuis les premières révélations publiées début avril, les Panama Papers ont éclaboussé des chefs d'Etat mais également des stars du football (Lionel Messi) ou du cinéma (Pedro Almodovar), soulevant une onde de choc.