Selon le quotidien El Mundo, la cache contenait plusieurs armes à feu, dont deux pistolets et deux fusils d'assaut, ainsi que des armes blanches en bon état.
Les enquêteurs espagnols ont également trouvé sur place des cartes mémoire qui ont permis d'établir que la cache appartenait à l'un des groupes faisant partie de l'Etat islamique.
Dans le même temps, il est probable que le groupe en question n'existe plus, les dernières données découvertes sur les cartes étant datées de 2013, souligne le journal.
Les forces de sécurité espagnoles accordent une attention particulière à la situation dans les villes-enclaves de Ceuta et de Melilla, situées sur la côte nord de l'Afrique. Leur position géographique permet aux islamistes radicaux d'utiliser ces territoires pour recruter de nouveaux membres de leurs organisations et pour trafiquer des êtres humains et des armes.