Le projet a été approuvé par l'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad. En 2012, l'ex-ministre iranien de l'Energie Majid Namjoo avait estimé que le coût du projet s'élevait à environ sept milliards de dollars.
En février 2015, le président de la commission des Affaires étrangères et de la sécurité nationale du parlement iranien Alaeddin Boroujerdi a affirmé que Khatam-al Anbiya, une société d'ingénierie appartenant aux corps des Gardiens de la révolution islamique, s'intéressait de près au projet qui serait achevé au cours des années 2020.
D'autres défis à la construction du canal comprendraient, outre les sécheresses dans le centre de l'Iran, un terrain difficile, l'ampleur du projet, ainsi que le niveau de financement requis, qui entre autres devra couvrir les efforts de dessalement. De plus, le canal artificiel sera construit dans une zone sujette aux tremblements de terre.